dimanche 8 juillet 2007

Poppers

J'ai essayé, avec mon fuckfriend, du poppers. J'en avais souvent entendu parler, j'en avais souvent vu dans le comptoir chez Priape, ses qualités dans les récits sexuels semblaient incroyables. On commençait à s'amuser lorsqu'il me dit:
«T'as déjà essayé ça, Garçon Débauché, du poppers?»

Parenthèse: je n'aime pas ce qui altère mon esprit. Je ne fume pas, ne prend pas de drogue. Pas par peur de l'effet, mais plus par peur du moyen; inhaler de la fumée je déteste. Me piquer me donne des sueurs. Et sniffer de la poudre, je ne sais pas pourquoi, ça me fait croire que mon nez va se mettre à pisser le sang partout. Si je prend de la drogue un jour ce serait davantage sous forme de pilules, je crois. Fin de la parenthèse.

«Non. Mais je suis prêt à tout essayer! (et c'est vrai)»
Il m'en a fait respirer, des deux côtés. Dans ma tête, pendant que j'aspirais, les souvenirs des histoires de cul incroyable sous le poppers, où on perd la tête, où on veut du sexe immédiatement et de façon incroyablement sauvage, me revenaient en tête. Immédiatement, j'ai ressenti une vague de chaleur en moi, un peu comme lorsqu'on prend une bonne shot de vodka en rentrant à la maison, l'hiver. Mais de l'extase? Non. Mon anus était plus dilaté, c'est sûr, mais je n'étais pas plus sauvage que d'habitude.

Question: suis-je déjà plus addict au sexe qu'un humain normalement constitué peut l'être, ou si je suis simplement insensible au poppers? Je devrai vérifier...

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